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À 30 ans, mon cadeau chez MerciYanis : je sais enfin ce que je veux !
Rejoignez-moi pour découvrir comment mon poste de cheffe de projet chez MerciYanis m’a permis d’y voir clair sur qui je suis et ce que je veux pour la suite.
J'ai longtemps recherché ma voie, mon pourquoi, mon job de rêve... Tous ces mots qui semblent dire la même chose et qui m’ont finalement (juste) mis une énorme pression.
Je suis une personne optimiste et enthousiaste, toujours en quête de nouveautés et de challenges. Après un long parcours en Master de Commerce, j'ai cherché à casser ma routine. J'ai fait mes bagages pour me lancer dans l'aventure de l'entrepreneuriat en Côte d’Ivoire 🇨🇮
J'en garde de magnifiques souvenirs sur les plans humain, culturel et culinaire ! J'ai noué de véritables amitiés et j’ai pu me consacrer à des passions comme la danse et l'humanitaire : c’était génial.
Sur le plan professionnel, cela n'a pas décollé comme je l'aurais espéré. Je suis partie avec tant de certitudes... Je pensais posséder les compétences et la maturité nécessaires pour créer ma boîte, être une entrepreneuse avec un grand E. J'étais déterminée à ne plus bosser pour quelqu'un d'autre que moi et assez entêtée à ce sujet, d'ailleurs.
Finalement, je suis passée du cadre et de la rigueur du Master en École de Commerce, où tout était régi par des projets et des objectifs clairs et précis, à la page blanche dans un nouveau pays sans mes repères. Cette expérience m'a révélé des besoins profonds et des traits de caractère que je ne soupçonnais pas… (affaire à suivre 👀)
Les idées fusent. J'aime tout... C'est génial parce qu'il m'en faut peu pour m'éclater. Mais quand on cherche sa voie, son pourquoi, ce n'est pas si simple. À ce moment-là, j'aurais aimé avoir une passion claire et précise qui aurait pu me guider ou m'aider à choisir.
Alors, j’ai tenté plusieurs approches. J'ai importé des produits gastronomiques français, travaillé pour une ONG, et fait du consulting. Mais je n'ai pas réussi à concrétiser un vrai projet durable. Surtout, j'ai découvert toutes les joies, ou plutôt les inconvénients, d'être ma propre boss !
L'entrepreneuriat en solo m'a confrontée à un trait de ma personnalité : mon besoin de sociabilité !
“Meuf, t’aimes trop les gens…. T’as besoin de rigoler, de papoter. C’est ça qui te donne de l’énergie au quotidien !”
Que ce soit en remote ou dans des espaces de co-working, ça ne l’a pas fait...J’ai finalement réalisé que je n'aimais pas ce type d'entrepreneuriat et que la notion d’équipe était essentielle pour moi.
Je suis passée de la nana sûre d'elle en Master, confiante lorsqu'il s'agissait de gérer la Junior entreprise de mon école, à quelqu'un d’un peu perdue, incertaine de par où commencer.
Ma vision globale me permettait de voir toutes les tâches à accomplir. Cependant, sans cadre ni objectif précis, venant d’un manager par exemple, je n’avais pas la “niaque”. Comme si j’étais meilleure pour bosser pour les autres plutôt que pour moi-même…
Cela soulève sans doute des questions plus profondes que je comprendrai plus tard... Mais aujourd'hui, cela ne m'importe plus car je me sens bien dans mon rôle actuel.
Malgré mes recherches et la lecture de nombreux livres de développement personnel pour savoir dans quel domaine me lancer, cela n'est pas venu. J'ai plus eu l'impression d'être « paumée » qu'autre chose. Et j'irais même plus loin : à force de chercher la bonne voie, j'en suis venue à croire que je n'avais ni personnalité, ni passion...
Puis, j'ai simplement réalisé que je n'avais trouvé aucun besoin, aucune cause qui me donne vraiment envie de m'engager dans une aventure de plusieurs années, assez passionnante pour motiver une équipe sur la durée...
Et quand je vois Guillaume et Elise, les CEO / CTO de MerciYanis, je me dis :
"Ah ouais, il faut être sacrément accroché pour tenir la cadence et guider l'équipe comme ils le font !”
🫶 Je réalise que l'entrepreneuriat demande beaucoup de courage, en plus d'un brin de folie !
Après cette période d'incertitudes, j'ai finalement choisi un poste de Customer Success, autrement dit Cheffe de projet, chez MerciYanis.
En redevenant salariée, je n'ai pas fermé la porte à la création de ma propre boîte, un jour. Mais j'ai réalisé que c'était simplement trop tôt.
Le plus beau dans tout ça, c'est qu'à travers cette nouvelle expérience, j'ai découvert l'entrepreneuriat sous d'autres angles :
En bossant chez MerciYanis, je découvre un tas de méthodes de travail, de techniques de communication et d'outils, ainsi que des concepts propres aux start-ups : les levées de fonds, la vie dans un incubateur, un vocabulaire spécifique, etc. C’est extrêmement enrichissant ! Si un jour je monte ma boîte, je m'en inspirerai sans aucun doute !
🤫 La petite intello en moi se dit :
"C'est comme si j'assistais à un cours continu de management, en live." 🤓
Alors, je m'efforce d'observer et de retenir les bonnes pratiques. Finalement, je fais preuve de plus d'humilité. Je me place dans la posture de celle qui a encore beaucoup à apprendre, et ça fait du bien. Je me sens chanceuse de faire partie d'une entreprise aussi bienveillante et au management intelligent.
MerciYanis me donne aussi, à mon niveau, la possibilité de développer mon âme d'entrepreneuse, en encourageant l'autonomie et la prise d'initiatives. Ici, je développe l'envie d'être toujours plus efficace, d'allouer les justes ressources à mes tâches, dans l'intérêt de la boîte.
Grâce à la transparence sur la vision et l'inclusion dans les décisions, je sens qu’on est tous, à notre manière, parties prenantes à la transformation de l'entreprise. La recherche d'amélioration continue sur les process, les méthodes de travail et le produit, est un “mindset” contagieux chez MerciYanis et je crois qu'on peut dire que nous avons tous plus ou moins cet esprit entrepreneurial 🚀
Et pour finir, parce que j’ai en moi cette âme d'entrepreneuse qui bouillonne... J'ai l'immense joie d'avoir réalisé un de mes plus beaux rêves : celui d'acheter le premier bien immobilier d'une longue série pour le rénover puis le louer. Et je me rends compte à quel point les compétences de cheffe de projet m'aident dans sa réalisation.
Comme une maître d'œuvre, j'organise, je coordonne les artisans, je fais des plans, je chiffre, je négocie, je planifie les interventions, je contrôle la qualité, je gère les achats d'outils et de matériaux, je suis la partie administrative des devis, des factures, des demandes de crédits et des permis... Comme une véritable entrepreneuse du bâtiment finalement. Bientôt, le volet déco va démarrer, et ça, c'est une de mes vraies passions !
Je me suis découverte, moi, mes forces et mes limites. J'ai compris qu'entreprendre peut se faire de plusieurs manières, mais doit se faire en accord avec soi-même. Je sais qu'un jour, je me lancerai.
En attendant, aujourd'hui, je me sens vraiment bien là où je suis et chanceuse d'apprendre tous les jours. À 30 ans, mon cadeau chez MerciYanis : je sais enfin ce que je veux !
Je me laisse porter pour la suite 😉 ✨
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Lumière, caméra, action ! Imagine la scène : un petit garçon à Téhéran, curieux, qui démonte tout ce qui lui passe sous la main juste pour comprendre comment ça marche. Cut. Fast-forward quelques années : me voilà à Toulouse, au cœur d’une startup en pleine effervescence : MerciYanis, avec un rêve bien ancré — lancer ma propre startup. Entre ces deux moments, c’est une aventure pleine de défis, de leçons et de rencontres. Alors, prêt pour le voyage ? Allez, installe-toi, le film commence !
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