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Hello, moi c’est Maël, et en vrai, je n’aurais jamais pensé écrire ce genre de phrase dans ma vie 😂
Mais bon, étant donné que je me suis moi-même proposé pour rédiger cet article, allons-y !
(Oui bon… j’avoue que passer pour l’alternant engagé auprès d’Alexia - responsable Marketing - m’a aidé à prendre cette décision…)
Je suis alternant chez MerciYanis, et j'espère que vous apprécierez ce petit voyage dans mes pensées autant que je me lance dans cette nouvelle aventure.
Au menu de cet article, je vous propose une petite présentation de ma personne, de mon parcours, et comment ma passion pour la musique m’a amené à bosser pour la start-up préférée de ta start-up préférée, aka MerciYanis 😎.
Mais surtout, comment j’arrive à me servir des expériences acquises dans la musique pour les utiliser dans mon rôle de jeune alternant business developer… et vice versa !
Car comme dirait un grand Product manager : “Parfois, les chemins que nous empruntons nous mènent là où nous n’aurions jamais imaginé aller”.
💡 D’ailleurs, il est l’auteur du dernier article publié sur notre site, que vous pouvez lire en suivant ce lien : De RH à product manager en start-up
C'est parti !
J'ai 23 ans, je suis actuellement étudiant à Toulouse Business School. Je viens d'un petit village dans le Tarn qui se nomme Lisle Sur Tarn, à côté de la ville d'Albi.
Petites anecdotes marrantes : je suis un fana de Corgi 🐶 (les chiens de la Reine d’Angleterre) et j'ai une empathie tellement démesurée pour les personnes âgées que ça en devient comique.
J'ai eu mon bac ES, et je me voyais déjà en robe de magistrat, défendant la cause des enfants dans un tribunal. Mais une fois à la fac de droit de Toulouse, la réalité m'a vite rattrapé et ce n'était pas le rêve que j'imaginais.
Clin d’œil à tous ceux qui se sont lancés dans cette voie avec espoir, mais qui n'ont pas réussi à franchir le cap de la première année…
Par la suite, j'ai décidé de me diriger vers un BTS Commerce International qui était plus accessible et qui, surtout, pouvait me permettre de partir voyager à l'étranger.
Me voilà en 2019 dans ma nouvelle classe, plein d'ambitions et de rêves de voyage. Mais là, c'est le drame, "el famoso" Covid-19 m’a coupé l'herbe sous le pied : moi qui m'imaginais rider sous un soleil couchant les terres de Los Angeles tel un Hell's Angel, je me retrouve bloqué à Toulouse dans le magnifique quartier des Arènes. 😭
Dégoûté, je décide d'aller profiter de l'air pur de la campagne tarnaise chez ma mère.
Ayant eu accès à une grande culture musicale depuis tout petit, j'ai eu l'occasion de faire beaucoup de musique, j'ai longtemps fait de la batterie ; d’ailleurs il y a encore quelques archives sur YouTube de moi jouant du Pantera ou du Megadeth à la salle de spectacle de Cap Découverte (certains sauront de quoi je parle).
J’avais dans l'idée de me remettre à la batterie, mais ma mère, soucieuse de sa paix auditive et nerveuse, m’a rapidement signifié que mes solos endiablés devaient céder la place à un mode d’expression un peu moins... retentissant.
Heureusement, j'avais téléchargé un logiciel sur mon PC qui me permettait de faire de la musique, FL Studio.
Étant un passionné de Hip-Hop et de rap, je passe des nuits à regarder des tutoriels sur YouTube, à me perdre sur des forums pour trouver comment cracker des instruments virtuels (c’est là que je remercie mes années d'enfance à cracker tous les jeux sur l’ordinateur familial).
En fait, je viens de trouver ma nouvelle passion. Je passe des journées à faire de la production musicale assistée par ordinateur (MAO).
Un matin je faisais défiler mon fil Instagram et là, surprise : “Rowjay”, un rappeur québécois, annonçait un live pour écouter des productions. L’angoisse monte en attendant son avis. Quand mon tour est venu, le voir apprécier mon beat et imaginer y poser ses paroles, ça m'a donné un de ces coups de boost ! 🚀
Cette petite victoire m'a ouvert des portes, tissant des liens avec des passionnés partout dans le monde (j’étais en train d’apprendre ce qu’était le networking).
Quand, quelques mois plus tard, un artiste du nom de "La Fève" a partagé un bout de son nouvel album avec un de mes sons, j'ai compris que la musique avait pris une place centrale dans ma vie ; il m'a même annoncé que j’étais disque d’or !! Aujourd’hui encore j’ai du mal à y croire. 😅
Ce chemin m'a vraiment montré l'importance de ne pas lâcher l'affaire, et chez MerciYanis, je vois que c'est pareil.
Quand je compose, je peux envoyer une prod (on est pro ou on l'est pas) et attendre des mois avant qu'un artiste pose finalement sa voix dessus.
C'est exactement comme nos cycles de vente ici : ils demandent de la persévérance et de la patience. Il faut parfois un bon moment pour qu'un deal se concrétise, un peu comme attendre que cette mélodie envoyée par mail se transforme en succès.
Dans les deux cas, on plante des graines, on arrose, et un beau jour, ça porte ses fruits, que ce soit une chanson qui fonctionne ou un partenariat d'affaires qui décolle.
En même temps, j’étais vendeur de cigarettes électroniques dans un petit kiosque d’une galerie marchande toulousaine.
C'était la première fois que j’étais vendeur mais aussi la première fois que j’avais des responsabilités.
Je prends conscience que malgré cette super expérience, je veux évoluer et encore bouger, que ce soit dans la musique mais aussi dans ma vie professionnelle.
Je me penche donc vers une poursuite d'études qui pourrait me plaire.
À ce moment-là, je tombe un peu par hasard sur l'école TBS (Toulouse Business School) me permettant d’avoir une double casquette : celle de salarié mais aussi d’étudiant, ce dont j’avais besoin. Après avoir réussi les concours d’admissions parallèles, le plus dur était encore à faire, je devais maintenant trouver une alternance (ahhh, on y est enfin ^^).
Après m’être inscrit sur plusieurs sites de recrutement sans grande conviction, j'ai finalement tenté ma chance sur LinkedIn, un terrain encore inconnu pour moi. Peu de temps après avoir peaufiné mon profil, je défile à travers les annonces et là, TBS partageait une annonce captivante : le recrutement de deux alternants.
Et devinez quelle entreprise était à la recherche de nouveaux talents ? Eh oui, c'était bien MerciYanis !
Je clique sur le lien et commence à lire le manifeste de l'entreprise et là, c'est comme une évidence. Je me rends compte que c'est exactement ce que je veux faire de mon alternance : des personnes qui se donnent à fond pour un projet commun et qui n'hésitent pas à se lancer, à essayer, à échouer, mais surtout à réussir.
Je me lance dans ma candidature (spoiler : ce sera la première et la dernière de l'année). Je me dis aussi qu'étant donné que j'ai vu l'annonce sur LinkedIn, je vais laisser un petit commentaire sous un de leurs posts pour essayer de me démarquer.
Alors, pour le coup, je pense m'être démarqué avec le commentaire, mais surtout avec sa mise en forme. On peut clairement voir que je n'avais pas les codes LinkedIn. Non mais sérieux, qui met "cordialement" en fin de commentaire sous un post ? 😂
Après un entretien avec Guillaume, le CEO de MerciYanis, et une série d'exercices pratiques, je me rappelle encore parfaitement le jour où j'ai reçu la réponse. J'étais en train de savourer des moules-frites à Narbonne, quand un message de Guillaume est arrivé : "Salut Maël, je viens aux nouvelles… Ça te dirait d’être notre apprenti ? 😉"
Et me voilà devant l'IOT Valley, les locaux où se trouve MerciYanis. C'est assez drôle car je n'imaginais pas qu'une version toulousaine de la Silicon Valley existait, j'étais comme un enfant.
Je suis rentré, et il y avait un robot qui livrait les colis aux entreprises ! Le pire, c'est que ça ne choquait personne.
C’est là que je me suis dit : c’est ici que je veux bosser. Avec une équipe qui vaut de l'or et qui est toujours au top.
J'ai des missions qui sont diverses et qui me permettent de monter en compétences de manière exceptionnelle.
Je fais du phoning afin d'avoir des rendez-vous intéressants pour mon équipe !
Mais avant de pouvoir décrocher le téléphone, il y a tout un travail de sourcing à faire. C'est là que les compétences s'entremêlent. Chez MerciYanis, je suis à la recherche des maîtres de l'environnement de travail – directeurs, responsables des services généraux, ces acteurs clés qui font vibrer la corde sensible des entreprises.
Et cette quête est similaire à celle que je mène en tant que beatmaker : trouver les bons contacts, ces adresses mails précieuses d'artistes et de managers qui pourraient être conquis par mes beats. C'est une recherche fine, déterminée, qui exige autant de tact que de technique, que ce soit pour convaincre un décideur d'opter pour une solution innovante ou pour qu'un artiste pose sur ma prod.
Et c'est marrant car mon expérience au sein de MerciYanis me permet d'avoir plus de rigueur quand je fais de la musique, ou du moins sur comment j'organise mes envois d'instrus par mail, car ça ne se rejoint pas dans la forme mais dans le fond.
Je dois prospecter des artistes pour qu'ils ouvrent mes mails contenant mes instrumentales, faire des relances, en gros faire du suivi de campagne, voir mon taux d'ouverture avec des extensions Chrome, etc. C'est vraiment le même principe. LaGrowthMachine, logiciel qui nous permet d’automatiser nos campagnes de prospection, pourrait être l’outil pour chaque beatmaker qui souhaiterait suivre ses mails et automatiser ses envois. Que je sois en train de peaufiner une stratégie d'emailing pour MerciYanis ou de shooter mes dernières créations aux oreilles averties, l'objectif reste le même : capter l'attention, susciter l'intérêt, et finalement, frapper en plein cœur de la cible. 🎯
C'est pour tout ça que je tenais vraiment à remercier tous ces beaux humains qui m'ont tellement bien intégré et accepté au sein de l'équipe (mention spéciale pour Océane, car c'est quand même la meilleure des tutrices, faut pas abuser 😉).
Alors, si vous avez besoin de retours sur vos prods musicales ou sur la prospection commerciale : écrivez-moi sur LinkedIn ! (Et non, je ne finirai pas par "Cordialement" 😂).
Si vous êtes curieux de voir comment MerciYanis peut harmoniser et optimiser votre environnement de travail, demandez votre démo ici, et ensemble, on fera en sorte que votre espace de travail joue la plus belle des mélodies 🎹
Et pour ceux qui aiment les beats qui résonnent autant que les espaces de travail bien huilés, vous pouvez écouter le morceau que j’ai produit pour La Fève juste ici 🎧.
À bientôt pour une collaboration qui fera vibrer les murs de vos bureaux !
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